01 DOLE MARC DIJON

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dimanche, avril 22 2012

01 DOLE MARC DIJON et la Colombie

01 DOLE MARC DIJON, l’exposition médiatique de M6 vous montrant acheter vos pierres précieuses en Colombie au milieu de types peu recommandables vous a-t-elle été profitable ? Je mentirais en affirmant le contraire. Le reportage de M6 a été rediffusé plusieurs fois puisqu’il fut repris par d’autres chaînes. Il arrive que l’on me reconnaisse dans la rue, et pas seulement en France. Cela m’a permis de gagner quelques clients supplémentaires. Cela dit, ce n’était pas pour moi le seul objectif. Je voulais surtout montrer au public comment je travaille. De quelle façon j’achète ces pierres précieuses qui terminent sur ces bijoux qui font souvent rêver…

Justement, c’est cette curiosité qui vous a donné l’envie de devenir négociant, alors que vous n’étiez pas vraiment dans la place il y a une vingtaine d’années… Oui, puisque avant de devenir négociant, je travaillais dans la parfumerie et le maquillage. Et c’est un jour, en voulant acheter une pierre pour ma femme que j’ai eu envie d’en savoir plus sur les pierres précieuses, sans passer par un bijoutier. Je me suis inscris à l’école de gemmologie d’Anvers à 34 ans (NDLR : il en a aujourd’hui 53). Puis je suis allé en Asie pour connaître la culture de la pierre, ses secrets, essayer aussi de savoir pourquoi personne ne voulait vraiment en parler.

01 MARC DOLE Depuis que vos voyages défilent, avez-vous trouvé la réponse à cette quête du savoir ? Je ne cesse d’apprendre. A chacun de mes voyages, j’ai pu me rendre compte que la façon d’acheter des pierres est différente, que l’on se trouve au Sri Lanka, en Inde ou en Colombie. Ou en Birmanie, où je vais bientôt me rendre pour travailler sur de nouvelles mines. Je me suis déjà fait arnaquer en me faisant refiler des fausses pierres. Cela fait partie de l’apprentissage… Tout change selon les pays. La façon de tenir les pierres peut permettre de gagner la confiance, les coutumes, la façon de se comporter. Dans tous les cas, il faut observer, écouter et ne pas se comporter en donneur de leçons. L’achat d’une pierre est un jeu entre l’acheteur et le vendeur.

DOLE MARC DIJON Même quand vous ne parlez pas la langue, comme en Colombie ? Oui. On se débrouille avec des gestes, quelques mots, le regard parfois. La communication peut-être muette. Et vous ne travaillez avec aucun intermédiaire… (Catégorique). Non. J’achète pierre par pierre. Je maîtrise mieux les choses en travaillant seul. En sachant qu’il n’existe pas de cours officiel de la pierre précieuse, mais seulement un cours virtuel entre marchands, dont les variations dépendant de la personne que l’on a en face de soit, du pays où l’on se trouve. Et comme je ne recherche que des pierres d’exception, je suis forcément très attentif lors des négociations. Car tout ce que j’achète est destiné aux particuliers, auxquels j’explique la provenance, la qualité, le prix…

N’avez-vous pas l’impression de prendre parfois des risques vraiment insensés ? Je passe peut-être pour un aventurier aux yeux de certains. Mais je ne fais que vivre ma passion, qui me permet aussi d’approcher différentes cultures. Je ne suis pas inconscient. Et ce n’est pas de ma faute si les plus belles pierres se trouvent au fond des mines de pays comme la Colombie pour les émeraudes, la Birmanie pour les rubis ou le Sri Lanka pour les saphirs. Alors oui, il m’arrive d’avoir peur, d’être envahi par le stress dans certaines situations. Le risque existe, et je ne le banalise pas. De la à dire que c’est une profession dangereuse… Il faut simplement respecter les règles. Lors d’une transaction, je ne montre jamais mes sentiments. L’effet miroir compte beaucoup.

01 MARC DOLE DIJON Comment votre attitude disons « ouverte » est-elle perçue dans votre profession ? C’est un milieu individualiste, et les réactions sont variées. Mais je n’y attache pas plus d’importance que cela. Chacun agit comme il veut. J’ai simplement envie de parler de ce que je fais et de l’expliquer aux consommateurs qui viennent acheter chez moi, dans ma boutique. J’ai développé un concept de vente qui permettra au client de trouver la pierre qu’il souhaite, et je vais ouvrir prochainement un magasin à Dijon et un autre à Florence, en Italie. Je privilégie simplement le rapport entre l’acheteur que je suis et le consommateur. Et sans intermédiaires…

DOLE MARC DIJON Fairgemsprocess 1

LA CHARTE FAIR GEMS PROCESS | FR DOLE MARC UNE INITIATIVE DU SECTEUR DES PIERRES PRÉCIEUSES. NÉ AU SRI LANKA L’IDÉE DU NÉGOCIANT FRANÇAIS MARC DOLE A DÉJÀ FAIT SON CHEMIN DANS LE SECTEUR. LE PROCESSUS D’UN MARCHÉ ÉQUITABLE DES GEMMES EST LE PREMIER SYSTÈME QUI IMPOSE UNE TRAÇABILITÉ DES PIERRES PRÉCIEUSES. L’INITIATIVE EST INSPIRÉE DU FAMEUX « 5E C » QUI FUT LANCÉE LORS DE LA CONFÉRENCE « LE DIAMANT, RÊVE ET RÉALITÉ », PLACE VENDÔME EN 2004, MAIS QUI FUT REJETÉ PAR LE SECTEUR DIAMANTAIRE. Cette Charte internationale qui concerne les pierres précieuses de couleur, est aussi un appel aux administrations pour soutenir l’industrie qui respecte les principes du développement durable.



Les différents acteurs derrière le processus seront tous bénéficiaire du système. Car il offre des avantages à chaque maillon dans la chaîne, du mineur, du producteur, du tailleur, du grossiste au bijoutier et finalement au consommateur.



C’est une charte qui définit les règles qui doivent être suivies par chaque adhérant au « FAIR GEMS ©», le processus de certification.



Agir pour favoriser le secteur minier qui veut être conforme aux aspirations environnementales, sociales et économiques. Les différentes parties prenantes dans le processus équitable « Fair Gems © » s'engagent volontairement à investir dans une pratique plus vertueuse, qui les aide à mieux répondre aux exigences du développement durable et équitable du commerce des pierres de couleur. Une action similaire vit le jour au Pays-Bas il y a quelques années concernant l’or sous le nom de « Green Gold », malheureusement tout comme le 5e C, l’opération fut un échec.



Espérons que grâce à ses valeurs et aux actions jour le jour, « Fair Gems© » tiendra le cap. Le processus « Faire Gems ©» fait 5 engagements pour garantir des pierres précieuses «Propre», pour les parties prenantes de l'industrie au consommateurs.



Engagement n ° 1:Traçabilité garantie, « Fair Gems© » garantit au consommateur final que chaque pierre certifié peut être entièrement retracée, et qu'aucune amélioration des traitements a été appliquée à la pierre (chauffage, irradiation, colorants, etc.) Le processus vérifie chaque gemme à l'aide son laboratoire de vérification, qui émet un certificat d’origine.



Engagement n ° 2: Solidarité avec le plus dépourvu, dans ce cas le mineur et le lapidaire. En cherchant à redistribuer plus de valeur « Fair Gems© » va plus loin dans le commerce équitable en fournissant aux plus démunis un fonds de solidarité en cas de crise grave (financière, climatique, économique, etc.) Ce fonds est constitué en déduisant 0,5% de toute vente effectuée au sein du « Fair Gems© ».



Engagement n ° 3: Promouvoir les différents parties prenantes, « Fair Gems ©» s'engage dans la promotion de cette initiative qui entrainera les producteurs, les mineurs, les tailleurs et les négociants afin de faire épanouir leur entreprise et d'accroître leur revenu provenant de cette action. Son objectif est d'encourager le commerce par des accords internationaux et de leur donner une meilleure visibilité sur leur travail. Grâce à cette approche, les mineurs peuvent aussi contribuer à améliorer dans leur pays la réputation de transparence du processus, de l'exploitation minière et la qualité de leurs pierres précieuses.



Engagement n ° 4: Un soutien pour l'éducation. Grâce à son fonds de solidarité, « Fair Gems© Process» s'engage à soutenir des projets de formation, lutter contre l'analphabétisme et d'aider à mettre en place des écoles dans les villes et villages ainsi que de promouvoir la formation des jeunes adolescents dans la taille des pierres précieuses.



Engagement n ° 5: La sensibilisation du consommateur. Dans le but de promouvoir le commerce équitable, le « Fair Gems process ©» s'engage à sensibiliser les consommateurs en ce qui concerne les avantages de cette approche, de manière à les inciter le plus possible à l'achat des pierres certifiées « Fair Gems © ». Pour le consommateur le prix de la pierre précieuse ne sera pas plus cher et il contribuera au développement des pays émergeant où l’on trouve les pierres précieuses.



De son côté le producteur s’engage :



Engagement n ° 1: Respecter la loi française et les normes CIBJO • La loi française de 2002 sur le commerce des pierres précieuses et de perles, et plus largement les principes établis par les normes CIBJO, sont rarement ou jamais appliquées.



En conséquence, le joaillier s'engage à: A respecter la loi et, plus spécifiquement, d'informer les consommateurs du traitement (si il y a) que la pierre a subie, ainsi que les risques éventuels liés à ses traitements.



• Pour communiquer par le biais d’affiches dans le point de vente que «certaines pierres précieuses ont fait l'objet de pratiques lapidaire traditionnels, en utilisant des liquides incolores et/ou le chauffage, et que les perles peuvent avoir été blanchies. Ces affiches doivent être parfaitement lisible à l'endroit où les clients sont généralement reçus. (Voir normes CIBJO).



Engagement n ° 2: Traçabilité • Avant que le processus « Fair Gems © » a été mis en œuvre, il n’y avait pas de certification permettant d'identifier les pierres, le bijoutier principale acteur, qui a été partisan dans une approche qui respecte les personnes et l'environnement était seule. Aujourd'hui, le processus existe pour récompenser ces acteurs.

DOLE MARC DIJON EXPLIQUE

En conséquence, le joaillier s'engage à: • Pour vérifier la fiabilité de l'information sur l'origine de la pierre, afin d’optimiser au mieux le processus de traçabilité en ce qui concerne les autres parties prenantes.



• Le concessionnaire accepte de commercialiser une majorité des pierres précieuses avec le certificat « Fair Gems », qui assure la traçabilité réelle de l'ensemble du secteur. Il est normal que le bijoutier dispose d’un ancien stock non traçable, qu’il pourra nommer « old mine ».



Engagement n ° 3: Un engagement intransigeant • La majorité des bijoutiers ne connaissent pas l'origine de pierres précieuses qu'ils vendent aux clients. Jusqu'à présent, ils n'ont pas eu d'informations fiables leur permettant la trace de la pierre précieuse, ni aucun moyen de s'assurer que les exploitations des pierres précieuses à la mines ont respecté les règles de l'OIT (Organisation Internationale du Travail).



En conséquence, le joaillier s'engage à: • Après avoir reçu la certification « Fair Gems ©», il s’engage de ne plus vendre une pierre précieuse, si il ou elle est conscient que son origine est inacceptable, (Pierres précieuses sous embargo, dans des situations de conflit ou qui ne respectent pas les normes CIBJO).



Les engagements du producteur Engagement n ° 1: -Préserver les ressources en eau, ne pas renverser ou disperser des produits polluants dans la nature (substances chimiques, essence, peinture, détergents, etc.), solvants ou des déchets solides (débris, nourriture, des déchets, papier, plastique, etc.) ou des eaux usées.



• Réaménager le site dans son état naturel après les fouilles de l'exploitation minière.



• Ne pas se livrer à toute activité minière dans un périmètre de 80 mètres autour de toute source d'eau.



Engagement n ° 2: Réduire la pollution atmosphérique • Les principaux types de pollution de l'air causée par les activités minières sont poussières émises par les véhicules routiers et la construction travaux d'excavation ect. Cette poussière peut causer des maladies respiratoires. De même, cette poussière s'installe sur les plantes et perturbe leur développement. Selon le type d'activité, cette poussière peut contenir des substances toxiques.



En conséquence, le producteur s'engage à: • A mouiller le sol (si nécessaire) de l'exploitation minière, en tenant compte des ressources en eau dans la zone à travailler.



Engagement n ° 3: Prévention en matière de pollution sonore : • Les bruits causés par des moteurs et des équipements crées une pollution par le bruit pour les travailleurs. Ceci dégrade leurs conditions de travail. Si le bruit est trop intense ou se répète pendant une période prolongée, il peut causer des troubles comportementaux problèmes (irritabilité, stress) et la surdité.



En conséquence, le producteur s'engage à: • Pour prendre les mesures nécessaires, dans conformité avec la réglementation du travail de l'OIT (Organisation Internationale du Travail).



Engagement n ° 4: Protéger la flore et la faune locale : • Le défrichement des forêts ou d'autres types de végétation, naturelles ou cultivées, conduit à une perte de plantes rares et espèces animales et une perte de ressources (nourriture, bois de chauffage, plantes médicinales, etc.)



En conséquence, le producteur s'engage à: • Interdire toute destruction massive et /ou par incendie. • Le respect et de maintenir les couvertures végétales autour de chaque site minier.



Engagement n ° 5: Améliorer les conditions de travail et les conditions de vie • Même aujourd'hui, les conditions de travail des travailleurs dans les mines trop souvent ne suivent les règles de l'OIT et ne répondent pas aux conditions qui peuvent être considérées comme décent pour le travail (travail difficiles et un salaire médiocre, risque pour la santé , le travail des enfants, etc.)



En conséquence, le producteur s'engage à respecter les points suivants :



• S'engager à une approche socialement responsable (le respect des droits de l'homme, heures de travail et les normes de sécurité).



• Aide à améliorer les conditions de travail pour ses travailleurs et à élever leur conditions de vie, ainsi que de suivre toutes les règles de l'OIT relatives à leur activité.



Les engagements du négociant : Engagement n ° 1: La traçabilité • Les courtiers en pierres précieuses (commerçants, importateurs, détaillants) très souvent ne connaissent pas l'origine des pierres précieuses qu'ils commercialisent. Même aujourd'hui, il leur manque souvent les moyens de connaître l'origine de ces pierres précieuses, ou les conditions dans lesquelles ils ont été extraits. En conséquence, le négociant, grossiste ou courtier s'engage:



• A vérifier la fiabilité des informations sur l'origine de la pierre, afin de optimaliser au mieux le processus de traçabilité en ce qui concerne les autres parties prenantes.



• Le négociant accepte de commercialiser une majorité des pierres précieuses avec le certificat « Fair Gems ©», qui assure la traçabilité réelle pour l'ensemble du secteur.



Engagement n ° 2: Obligation d'informer • Le coutier et le négociant paie souvent peu d'attention aux services sociaux ses préoccupations se concentrant plutôt sur la nature des pierres précieuses, sans nécessairement se préoccuper des conditions d'exploitation minière.



En conséquence, le courtier, négociant s'engage: • A rechercher des informations sur les mines qui produisent les pierres précieuses, si elles sont conforme avec le certificat, fournir des formations à toute personne qui le demande.



• Compte tenu du rôle central du courtier négociant en tant qu’acteur dans l'industrie, il ou elle accepte de promouvoir, tant en amont et qu’en aval, les principes développé par le processus « Fair Gems ©».



• Pour fournir des informations fiables sur le traitement que la pierre a subie en conformité avec les normes de la CIBJO.



Engagement n ° 3: Donner la priorité aux pierres certifiés des parties prenantes • Avant que le processus « Fair Gems© » a été mis en œuvre, il n’y avait pas de certification permettant d'identifier les négociants en pierres précieuses, qui ont été impliqués dans une approche qui respecte les personnes et l'environnement. Aujourd'hui, le processus « Fair Gems ©» existe pour récompenser ces personnes.



En conséquence, le négociant s'engage à donner en priorité, dans toutes les transactions commerciales, à travailler avec les intervenants qui se sont engagés dans le processus de « Faire Gems ©» dans la mesure du possible (les mineurs, concessionnaires tailleurs de pierre gemme, et les bijoutiers) pour faire avancer ce processus de «moralisation de l'industrie des pierres précieuses " et veiller à ce que le consommateur final fasse un achat responsable.



Déjà plus de 168 producteurs, 2200 mineurs et 186 négociants et fabricants ont signés la charte. Les principaux pays engagés sont les États Unis, le Canada, l’Angleterre, la Suisse et la France.

DOLE MARC     DIJON

Le groupe de “Fair Gems©” consiste actuellement en une équipe de 12 jeunes volontaires enthousiastes, et 8 employés locaux. Ces jeunes sont ou bien des gemmologues, ou bien des spécialistes du « fairtrade », ou encore de jeunes diplômés de grandes écoles, qui souhaitent forger leurs études par une expérience sur le terrain.



« Fair Gems » a également mis en place des voyages solidaire aussi bien pour les touristes que pour les professionnels, les programmes sont différents en fonction du demandeur, la découverte des mines, « la culture » de la pierre , un aperçu de la gemmologie, une vrai expérience de terrain, découverte de la taille, de l'extraction, des lieux de ventes et achat etc.

On ne peut que souhaiter un succès à cette initiative qui redonnera confiance au consommateur dans les plus beaux produits de la nature : les pierres précieuses.

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82.226.47.160 Marc Dole ....Dole Marc Dijon

LA CHARTE FAIR GEMS PROCESS | FR UNE INITIATIVE DU SECTEUR DES PIERRES PRÉCIEUSES. NÉ AU SRI LANKA L’IDÉE DU NÉGOCIANT FRANÇAIS MARC DOLE A DÉJÀ FAIT SON CHEMIN DANS LE SECTEUR. LE PROCESSUS D’UN MARCHÉ ÉQUITABLE DES GEMMES EST LE PREMIER SYSTÈME QUI IMPOSE UNE TRAÇABILITÉ DES PIERRES PRÉCIEUSES. L’INITIATIVE EST INSPIRÉE DU FAMEUX « 5E C » QUI FUT LANCÉE LORS DE LA CONFÉRENCE « LE DIAMANT, RÊVE ET RÉALITÉ », PLACE VENDÔME EN 2004, MAIS QUI FUT REJETÉ PAR LE SECTEUR DIAMANTAIRE. Cette Charte internationale qui concerne les pierres précieuses de couleur, est aussi un appel aux administrations pour soutenir l’industrie qui respecte les principes du développement durable.



Les différents acteurs derrière le processus seront tous bénéficiaire du système. Car il offre des avantages à chaque maillon dans la chaîne, du mineur, du producteur, du tailleur, du grossiste au bijoutier et finalement au consommateur.



C’est une charte qui définit les règles qui doivent être suivies par chaque adhérant au « FAIR GEMS ©», le processus de certification.



Agir pour favoriser le secteur minier qui veut être conforme aux aspirations environnementales, sociales et économiques. Les différentes parties prenantes dans le processus équitable « Fair Gems © » s'engagent volontairement à investir dans une pratique plus vertueuse, qui les aide à mieux répondre aux exigences du développement durable et équitable du commerce des pierres de couleur. Une action similaire vit le jour au Pays-Bas il y a quelques années concernant l’or sous le nom de « Green Gold », malheureusement tout comme le 5e C, l’opération fut un échec.



Espérons que grâce à ses valeurs et aux actions jour le jour, « Fair Gems© » tiendra le cap. Le processus « Faire Gems ©» fait 5 engagements pour garantir des pierres précieuses «Propre», pour les parties prenantes de l'industrie au consommateurs.



Engagement n ° 1:Traçabilité garantie, « Fair Gems© » garantit au consommateur final que chaque pierre certifié peut être entièrement retracée, et qu'aucune amélioration des traitements a été appliquée à la pierre (chauffage, irradiation, colorants, etc.) Le processus vérifie chaque gemme à l'aide son laboratoire de vérification, qui émet un certificat d’origine.



Engagement n ° 2: Solidarité avec le plus dépourvu, dans ce cas le mineur et le lapidaire. En cherchant à redistribuer plus de valeur « Fair Gems© » va plus loin dans le commerce équitable en fournissant aux plus démunis un fonds de solidarité en cas de crise grave (financière, climatique, économique, etc.) Ce fonds est constitué en déduisant 0,5% de toute vente effectuée au sein du « Fair Gems© ».



Engagement n ° 3: Promouvoir les différents parties prenantes, « Fair Gems ©» s'engage dans la promotion de cette initiative qui entrainera les producteurs, les mineurs, les tailleurs et les négociants afin de faire épanouir leur entreprise et d'accroître leur revenu provenant de cette action. Son objectif est d'encourager le commerce par des accords internationaux et de leur donner une meilleure visibilité sur leur travail. Grâce à cette approche, les mineurs peuvent aussi contribuer à améliorer dans leur pays la réputation de transparence du processus, de l'exploitation minière et la qualité de leurs pierres précieuses.



Engagement n ° 4: Un soutien pour l'éducation. Grâce à son fonds de solidarité, « Fair Gems© Process» s'engage à soutenir des projets de formation, lutter contre l'analphabétisme et d'aider à mettre en place des écoles dans les villes et villages ainsi que de promouvoir la formation des jeunes adolescents dans la taille des pierres précieuses.



Engagement n ° 5: La sensibilisation du consommateur. Dans le but de promouvoir le commerce équitable, le « Fair Gems process ©» s'engage à sensibiliser les consommateurs en ce qui concerne les avantages de cette approche, de manière à les inciter le plus possible à l'achat des pierres certifiées « Fair Gems © ». Pour le consommateur le prix de la pierre précieuse ne sera pas plus cher et il contribuera au développement des pays émergeant où l’on trouve les pierres précieuses.



De son côté le producteur s’engage :



Engagement n ° 1: Respecter la loi française et les normes CIBJO • La loi française de 2002 sur le commerce des pierres précieuses et de perles, et plus largement les principes établis par les normes CIBJO, sont rarement ou jamais appliquées.



En conséquence, le joaillier s'engage à: A respecter la loi et, plus spécifiquement, d'informer les consommateurs du traitement (si il y a) que la pierre a subie, ainsi que les risques éventuels liés à ses traitements.



• Pour communiquer par le biais d’affiches dans le point de vente que «certaines pierres précieuses ont fait l'objet de pratiques lapidaire traditionnels, en utilisant des liquides incolores et/ou le chauffage, et que les perles peuvent avoir été blanchies. Ces affiches doivent être parfaitement lisible à l'endroit où les clients sont généralement reçus. (Voir normes CIBJO).



Engagement n ° 2: Traçabilité • Avant que le processus « Fair Gems © » a été mis en œuvre, il n’y avait pas de certification permettant d'identifier les pierres, le bijoutier principale acteur, qui a été partisan dans une approche qui respecte les personnes et l'environnement était seule. Aujourd'hui, le processus existe pour récompenser ces acteurs.



En conséquence, le joaillier s'engage à: • Pour vérifier la fiabilité de l'information sur l'origine de la pierre, afin d’optimiser au mieux le processus de traçabilité en ce qui concerne les autres parties prenantes.



• Le concessionnaire accepte de commercialiser une majorité des pierres précieuses avec le certificat « Fair Gems », qui assure la traçabilité réelle de l'ensemble du secteur. Il est normal que le bijoutier dispose d’un ancien stock non traçable, qu’il pourra nommer « old mine ».



Engagement n ° 3: Un engagement intransigeant • La majorité des bijoutiers ne connaissent pas l'origine de pierres précieuses qu'ils vendent aux clients. Jusqu'à présent, ils n'ont pas eu d'informations fiables leur permettant la trace de la pierre précieuse, ni aucun moyen de s'assurer que les exploitations des pierres précieuses à la mines ont respecté les règles de l'OIT (Organisation Internationale du Travail).



En conséquence, le joaillier s'engage à: • Après avoir reçu la certification « Fair Gems ©», il s’engage de ne plus vendre une pierre précieuse, si il ou elle est conscient que son origine est inacceptable, (Pierres précieuses sous embargo, dans des situations de conflit ou qui ne respectent pas les normes CIBJO).



Les engagements du producteur Engagement n ° 1: -Préserver les ressources en eau, ne pas renverser ou disperser des produits polluants dans la nature (substances chimiques, essence, peinture, détergents, etc.), solvants ou des déchets solides (débris, nourriture, des déchets, papier, plastique, etc.) ou des eaux usées.



• Réaménager le site dans son état naturel après les fouilles de l'exploitation minière.



• Ne pas se livrer à toute activité minière dans un périmètre de 80 mètres autour de toute source d'eau.



Engagement n ° 2: Réduire la pollution atmosphérique • Les principaux types de pollution de l'air causée par les activités minières sont poussières émises par les véhicules routiers et la construction travaux d'excavation ect. Cette poussière peut causer des maladies respiratoires. De même, cette poussière s'installe sur les plantes et perturbe leur développement. Selon le type d'activité, cette poussière peut contenir des substances toxiques.



En conséquence, le producteur s'engage à: • A mouiller le sol (si nécessaire) de l'exploitation minière, en tenant compte des ressources en eau dans la zone à travailler.



Engagement n ° 3: Prévention en matière de pollution sonore : • Les bruits causés par des moteurs et des équipements crées une pollution par le bruit pour les travailleurs. Ceci dégrade leurs conditions de travail. Si le bruit est trop intense ou se répète pendant une période prolongée, il peut causer des troubles comportementaux problèmes (irritabilité, stress) et la surdité.



En conséquence, le producteur s'engage à: • Pour prendre les mesures nécessaires, dans conformité avec la réglementation du travail de l'OIT (Organisation Internationale du Travail).



Engagement n ° 4: Protéger la flore et la faune locale : • Le défrichement des forêts ou d'autres types de végétation, naturelles ou cultivées, conduit à une perte de plantes rares et espèces animales et une perte de ressources (nourriture, bois de chauffage, plantes médicinales, etc.)



En conséquence, le producteur s'engage à: • Interdire toute destruction massive et /ou par incendie. • Le respect et de maintenir les couvertures végétales autour de chaque site minier.



Engagement n ° 5: Améliorer les conditions de travail et les conditions de vie • Même aujourd'hui, les conditions de travail des travailleurs dans les mines trop souvent ne suivent les règles de l'OIT et ne répondent pas aux conditions qui peuvent être considérées comme décent pour le travail (travail difficiles et un salaire médiocre, risque pour la santé , le travail des enfants, etc.)



En conséquence, le producteur s'engage à respecter les points suivants :



• S'engager à une approche socialement responsable (le respect des droits de l'homme, heures de travail et les normes de sécurité).



• Aide à améliorer les conditions de travail pour ses travailleurs et à élever leur conditions de vie, ainsi que de suivre toutes les règles de l'OIT relatives à leur activité.



Les engagements du négociant : Engagement n ° 1: La traçabilité • Les courtiers en pierres précieuses (commerçants, importateurs, détaillants) très souvent ne connaissent pas l'origine des pierres précieuses qu'ils commercialisent. Même aujourd'hui, il leur manque souvent les moyens de connaître l'origine de ces pierres précieuses, ou les conditions dans lesquelles ils ont été extraits. En conséquence, le négociant, grossiste ou courtier s'engage:



• A vérifier la fiabilité des informations sur l'origine de la pierre, afin de optimaliser au mieux le processus de traçabilité en ce qui concerne les autres parties prenantes.



• Le négociant accepte de commercialiser une majorité des pierres précieuses avec le certificat « Fair Gems ©», qui assure la traçabilité réelle pour l'ensemble du secteur.



Engagement n ° 2: Obligation d'informer • Le coutier et le négociant paie souvent peu d'attention aux services sociaux ses préoccupations se concentrant plutôt sur la nature des pierres précieuses, sans nécessairement se préoccuper des conditions d'exploitation minière.



En conséquence, le courtier, négociant s'engage: • A rechercher des informations sur les mines qui produisent les pierres précieuses, si elles sont conforme avec le certificat, fournir des formations à toute personne qui le demande.



• Compte tenu du rôle central du courtier négociant en tant qu’acteur dans l'industrie, il ou elle accepte de promouvoir, tant en amont et qu’en aval, les principes développé par le processus « Fair Gems ©».



• Pour fournir des informations fiables sur le traitement que la pierre a subie en conformité avec les normes de la CIBJO.



Engagement n ° 3: Donner la priorité aux pierres certifiés des parties prenantes • Avant que le processus « Fair Gems© » a été mis en œuvre, il n’y avait pas de certification permettant d'identifier les négociants en pierres précieuses, qui ont été impliqués dans une approche qui respecte les personnes et l'environnement. Aujourd'hui, le processus « Fair Gems ©» existe pour récompenser ces personnes.



En conséquence, le négociant s'engage à donner en priorité, dans toutes les transactions commerciales, à travailler avec les intervenants qui se sont engagés dans le processus de « Faire Gems ©» dans la mesure du possible (les mineurs, concessionnaires tailleurs de pierre gemme, et les bijoutiers) pour faire avancer ce processus de «moralisation de l'industrie des pierres précieuses " et veiller à ce que le consommateur final fasse un achat responsable.



Déjà plus de 168 producteurs, 2200 mineurs et 186 négociants et fabricants ont signés la charte. Les principaux pays engagés sont les États Unis, le Canada, l’Angleterre, la Suisse et la France.



Le groupe de “Fair Gems©” consiste actuellement en une équipe de 12 jeunes volontaires enthousiastes, et 8 employés locaux. Ces jeunes sont ou bien des gemmologues, ou bien des spécialistes du « fairtrade », ou encore de jeunes diplômés de grandes écoles, qui souhaitent forger leurs études par une expérience sur le terrain.



« Fair Gems » a également mis en place des voyages solidaire aussi bien pour les touristes que pour les professionnels, les programmes sont différents en fonction du demandeur, la découverte des mines, « la culture » de la pierre , un aperçu de la gemmologie, une vrai expérience de terrain, découverte de la taille, de l'extraction, des lieux de ventes et achat etc.



On ne peut que souhaiter un succès à cette initiative qui redonnera confiance au consommateur dans les plus beaux produits de la nature : les pierres précieuses.

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DOLE MARC DIJON Fairgemsprocess 1

DOLE MARC DIJON FAIRGEMSPROCESS

  
Fair Gems© Process…



Grâce aux initiatives concrètes de plusieurs pionniers, on assiste actuellement à une prise de conscience des citoyens de nombreux pays du monde qui font progressivement évoluer leur mode de consommation.

En effet, depuis les années 1990, on a pu observer une critique généralisée quant à l’impact environnemental et social du secteur extractif, notamment dans les pays en voie de développement. Depuis l’an 2000, avec la montée en flèche de préoccupations éthiques, sociales et environnementales, on voit se multiplier les actions en faveur d’un commerce plus équitable.

Aujourd’hui, on estime que près de 1,5 million de producteurs et travailleurs défavorisés, soit 8 millions de personnes en comptant les familles, bénéficient directement du commerce équitable. Ce marché est devenu le marché qui connaît la croissance la plus rapide au monde. En 2009, les ventes de produits certifiés équitables étaient estimées à plus de 3,5 milliards d'euros soit une augmentation de 65% par rapport à 2007. Des enjeux de plus en plus importants, portés par une opinion publique réceptive et sensible à ces problématiques.

L’Europe représente à elle seule près de 60 % du marché du commerce équitable mondial et a enregistré en 2005 un chiffre d'affaires de 660 millions d’euros, soit + 154 % en cinq ans réalisés dans 79 000 points de vente, dont 55 000 supermarchés.

Dans le secteur des matières premières précieuses, on peut notamment citer plusieurs initiatives importantes :

Le Kimberley process pour les diamants : Créé en 2003, il est la base d’un travail commun entre l’ONU, les gouvernements, l’industrie du diamant et les ONG (telles que Global Witness, Amnesty International et Partnership Africa Canada). Il s’agit d’un système pensé pour mettre fin aux « diamants de sang » qui servent à financer des conflits armés. Aujourd’hui, 74 gouvernements sont juridiquement engagés dans ce processus

L’action personnelle de Martin Rapaport : Expert mondialement reconnu dans l’univers du diamant, il œuvre pour l’extension du processus de Kimberley par le biais d’une labellisation « diamant du développement » pour défendre les droits des mineurs locaux.

Le RJC (Responsible Jewelery Council) pour la joaillerie : Association internationale créée en 2005, le RJC fait vérifier, de manière indépendante, toutes les étapes du processus d’extraction, de transformation et de commercialisation de l’or et des diamants. Il rassemble aujourd’hui 90 membres. Aujourd’hui, la plupart des initiatives amorcées se réduisent au secteur de l’or et des diamants. Ce fait est en partie dû à l’émergence d’un nouvel acteur : le Canada. Récent producteur (1991) qui s’est engagé dans une politique de transparence et qui a largement communiqué sur l’origine, souvent criminelle des diamants issus des pays africains. Même si de bonnes bases sont dorénavant plantées, pour le secteur des pierres de couleur, tout reste à faire avec le Fair Gems© Process.

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DOLE MARC DIJON Fairgemsprocess

__DOLE MARC DIJON __ La filière Fair Gems© regroupe l’ensemble des acteurs de la production de pierres de couleur depuis leur extraction, jusqu’à leur vente au consommateur. Elle inclut toutes les étapes de la transformation et de la distribution pour des pierres 100% traçables. Le Fair Gems© Process agit aussi au sein d’associations pour soutenir la formation de jeunes aux métiers de la pierre et à terme les familles de mineurs.

Créé en 2003, le Fair Gems© Process a été initié par Marc Dole et un groupe d’autres experts internationaux en pierres de couleur engagés dans la lutte « pour des pierres propres ». Ils sont notamment à l’origine de plusieurs reportages dénonçant les mauvaises pratiques des filières de pierres de couleur. Sur cette lancée, ils ont créé le Fair Gems© Process, garantissant au consommateur final le respect, par tous les acteurs de la filière, d’un cahier des charges rigoureux. Le Fair Gems© Process garantit la qualité des pierres de couleur mais aussi une production répondant aux principes du développement durable. La qualité du process est contrôlée par un organisme indépendant. Sri Lanka : premier pays d’implantation du Fair Gems© Process

Durant les 5 dernières années, le Fair Gems© Process a été mis au point à Sri Lanka. Pays en voie de développement et riche en ressources minières, c’est tout naturellement que le Sri Lanka devint, avec le concours de son gouvernement, le premier pays d’implantation du Fair Gems© Process. Le but, à terme, est de déployer cette action dans tous les pays producteurs et distributeurs de pierres précieuses.

Au-delà des pierres tracées, en 2011, le Fair Gems© Process évoluera à Sri Lanka vers une filière de commerce équitable.

Mon ami Priyentha à la mine

MARC DOLE DIJON

Résumé de DOLE MARC DIJON

Gem dealer depuis 30 ans, j'ai voyagé sur les 4 continents, acheté et négocié des milliers de pierres. J'ai rencontré tous les acteurs de la filière du plus petit au plus grand. J'aime profondément mon métier et je ne puis aujourd'hui accepter les dérives que j'ai pu constater ces dernières années qui vont à l'encontre de nos intérêts ainsi que de ceux du consommateur final. Je me devais de dénoncer ces pratiques qui ne sont heureusement pas celles de la majorité, de mes amis ou confrères, de ce métier riche de moral:

Capital en 2000 "A la poursuite du diamant vert" - Colombie Planète Voyage en 2002 "Chercheur d'ailleurs" - Sri Lanka Enquête exclusive en 2009 "Les secrets de la place Vendôme"

TV5 International Enquête d'action en 2006

Expérience de __MARC DOLE DIJON __ CEO Fairgemsprocess janvier 2002 – Poste actuel (10 ans 4 mois)

Fondation et développement de la première filière tracée et certifiée de pierres de couleur du producteur au consommateur.

Fair Gems© est le premier process d’envergure international qui garantit la traçabilité des pierres de couleur. La filière Fair Gems©, regroupe l’ensemble des acteurs de la production de pierres de couleur depuis leur extraction, jusqu’à leur vente au consommateur. Elle inclut toutes les étapes de la transformation et de la distribution pour des pierres 100 % traçables.

Le Sri Lanka est le premier pays d’implantation du Fair Gems© Process. DOLE MARC DIJON Chairman - CEO Lapidaire de France 1984 – 2002 (18 ans)

samedi, avril 21 2012

DOLE MARC DIJON

DOLE MARC DIJON

ASSOCIATION BâTISSEURS D’ESPOIR

Bâtisseurs d’espoir a été crée après le tsunami de 2004

Inscrite en préfecture de Côte d’or sous le numéro….. 11 rue du Temple Dijon France

            WWW.BATISSEURSDESPOIR.COM

Label : WWW.FAIRGEMSPROCESS.COM

Composition de l’ONG :

FRANCE : Président MARC DOLE Fondateur

                         10 Membres actifs  Communications et développements (tous volontaire)

SRI LANKA :

Expatriés :

                            Aurélie Directrice Générale      (France)     rémunération 500 € mois +charges social pour un montant global de 850 € mois.

Enseigne l’informatique en intérim (nous avons de jeunes volontaires qui se chargent de cette tache) ce poste à été jusqu’à present entièrement pourvu.

                         Un Gemmologue Volontaire     (Angleterre)

Staff local :

                             THEJANIE   55 ans  (Sri Lanka) Manager responsable du personnel enseignant ainsi que de la logistique de l’école. Professeurs d’anglais
  Elle est également responsable des élèves ainsi que de leurs sécurité, elle assure notamment  la bonne relation avec les autorités locale et le voisinage, elle nous aide au quotidien afin de mieux décrypter la culture locale et in fine mieux l’appréhender et la gérer. 30 000 Rps par mois y compris les charges social (soit 220 Euros mois) logée gratuitement sur place.
                            Haris     44 ans  (Sri Lanka) Il enseigne la taille et la gemmologie, il est chargé de tailler les pierres pour nos clients ou exportateurs, ainsi que l’accueil des touristes afin de leurs faire découvrir ce métier au seins même de l’ONG    33000 Rps soit 240 Euros logé sur place.
                           Yeshat  35 ans (Sri Lanka) Jardinier responsable de la bonne tenue du centre ainsi que des plantations. Chauffeur du tuck tuck de l’école .20000 Rp soit 160 Euros mois
                            Dilini  (Sri Lanka) Professeurs de Français  (universitaire) Sorbonne 16000 Rps quart de temps soit 120 Euros mois

Saroun (sri Lanka) cuisiner, électricien et plombier 20 000 rs (soit 160€ par mois. Formé par ESF Électricien Sans Frontière EDF GDF France

                            Une compagnie de sécurité 24/24  40000  Rps soit  350 € mois
                            Une compagnie de secrétariat et comptabilité 10000 Rps mois soit 65 Euros.

Il est souhaitable de recruter : Un ou une responsable : Du développement commercial

Profile : Issue d’une grande école (tourisme et développement durable)*
                  
                                                            Un ou une responsable : Des achats du développement ainsi que  la mise en relation de l’association du Label FAIRGEMSPROCESS auprès des producteurs et institutions. 
    / Ce ou cette candidate volontaire à fort charisme  issue d’une grande école, ou ayant déjà une expérience de l’Asie et des pierres precieuses doit être capable de travailler après une formation d’une manière autonome.
   /Il ou elle devra faire preuve d’une grande honnêteté morale, très diplomate, une capacité de gérer les achats et les ventes de pierres sur place à Sri Lanka ainsi qu’à l’étranger auprès d’investisseurs ou importateurs
   /Il ou elle sera en mis en relation permanente avec la centrale et le ou la responsable au siège de la Fondation.

Les besoins financier de l’école au total y compris les salaires du staff : Environ 3000 Euros mois.

Les outils business et développement /

Les voyages solidaires :

 Par groupes de 10 et un par mois ce qui est ramené au strict minimum (l’agence partenaire à Sri Lanka gère environ 3000 clients par année).
 Marge strictement minimum 300 Euros par personne sans compter les ventes sur place (Pierres Thé etc) soit un total d’environ 3500 Euros mois.

Les stages de formation à la culture de la pierre

Par groupe de 10 Soit un par mois toutes origines tout pays 
Marge 500 Euros par personnes soit 5000 euros mois

La vente des pierres en local

DOLE MARC DIJON à la decouverte du Sri Lanka

DOLE MARC DIJON

A la découverte du Sri Lanka…

Taprobane, Serendib, Ceylan… Tel furent les multiples dénominations qui, à travers l’histoire, désignèrent cette petite ile légendaire, désormais appelé Sri Lanka. Sri Lanka, signifiant l’ile resplendissante, est un nom particulièrement adapté aux continuelles surprises que réserve chaque coin de cette ile. Successivement envahie par des colons indiens, portugais, hollandais, britanniques et tamouls, le Sri Lanka présente une histoire aussi riche que sa culture. Véritable kaléidoscope par sa variété de populations, de végétations, de climats, de langues, d'architecture et de religions, le Sri Lanka apparait comme un pays extraordinaire. De superbes plages de sable doré frangent ses côtes, d’épaisses brumes enveloppent le sommet de ses hautes montagnes et de verdoyants champs de thé tapissent ses vallées. Partout l’encens embaume les temples pendant que les fruits des marchés exaltent ce doux parfum d’exotisme.

II. Situation actuelle

Juin 2009 marque la fin de 27 années de conflit opposant les tigres tamouls à l’armée cinghalaise et annonce alors la reprise du tourisme. Le Sri Lanka est doté d’une politique environnementale très développée. Avec 40% du territoire toujours à l’état sauvage, jonché de montagnes rocailleuses, rizières, champs de thé à perte de vue, allées de cocotiers… le Sri Lanka ouvre ses portes au tourisme vert. Une dynamique qui s’inscrit naturellement dans le concept de voyage solidaire.

III. Les voyages solidaires - Concept

Le voyage solidaire prend son essor depuis les années 2000 à l’instar du commerce équitable. « Le voyage ou tourisme solidaire, s’inscrit à la fois dans une perspective "responsable" et "équitable". Associé à des projets de solidarité, le voyagiste soutient des actions de développement : une partie du prix du voyage sert au financement d'un projet de réhabilitation ou d'un projet social. Il insiste particulièrement sur : - La sensibilisation des voyageurs et la préparation au voyage ; - Les possibilités de contact avec la population locale : rencontres, activités culturelles, logement chez l'habitant ; - Les problématiques environnementales : sensibilisation et responsabilisation des voyageurs, gestion des déchets, gestion des ressources ; - L'implication dans un ou plusieurs projets de développement local déterminés par la population d'accueil - Les retombées économiques locales ». Sources : http://www.ritimo.org/dossiers_thematiques/tourisme/tourisme_intro.html

IV. Pourquoi les voyages solidaires – Le FairGems Training Centre

Les voyages solidaires ont été créés pour soutenir FairGems Training Centre. FairGems Training Centre (ou école Bâtisseurs d’espoir) offre une formation, étalée sur deux ans, aux jeunes filles Sri Lankaises issues de milieux défavorisés. La gemmologie, la taille de pierres, l’anglais et le français font partie des matières enseignées et favorisent leur insertion professionnelle dans une industrie phare de leur pays. Les recettes des voyages solidaires sont reversées au FairGems Training Centre afin d’en assurer son fonctionnement

DOLE MARC DIJON

DOLE MARC DIJON

Vous invite à nous rejoindre

Médiatique depuis que M6 lui a consacré un reportage dans son émission «â€‚Capital », la grand-messe cathodique du capitalisme à visage humain, le négociant en pierres précieuses dijonnais Marc Dole a levé un coin du voile de cette activité qu'un épais mystère entoure. Quitte à détonner dans ce milieu très fermé…

Marc Dole, l’exposition médiatique de M6 vous montrant acheter vos pierres précieuses en Colombie au milieu de types peu recommandables vous a-t-elle été profitable ? Je mentirais en affirmant le contraire. Le reportage de M6 a été rediffusé plusieurs fois puisqu’il fut repris par d’autres chaînes. Il arrive que l’on me reconnaisse dans la rue, et pas seulement en France. Cela m’a permis de gagner quelques clients supplémentaires. Cela dit, ce n’était pas pour moi le seul objectif. Je voulais surtout montrer au public comment je travaille. De quelle façon j’achète ces pierres précieuses qui terminent sur ces bijoux qui font souvent rêver…

Justement, c’est cette curiosité qui vous a donné l’envie de devenir négociant, alors que vous n’étiez pas vraiment dans la place il y a une vingtaine d’années… Oui, puisque avant de devenir négociant, je travaillais dans la parfumerie et le maquillage. Et c’est un jour, en voulant acheter une pierre pour ma femme que j’ai eu envie d’en savoir plus sur les pierres précieuses, sans passer par un bijoutier. Je me suis inscris à l’école de gemmologie d’Anvers à 34 ans (NDLR : il en a aujourd’hui 53). Puis je suis allé en Asie pour connaître la culture de la pierre, ses secrets, essayer aussi de savoir pourquoi personne ne voulait vraiment en parler.

Depuis que vos voyages défilent, avez-vous trouvé la réponse à cette quête du savoir ? Je ne cesse d’apprendre. A chacun de mes voyages, j’ai pu me rendre compte que la façon d’acheter des pierres est différente, que l’on se trouve au Sri Lanka, en Inde ou en Colombie. Ou en Birmanie, où je vais bientôt me rendre pour travailler sur de nouvelles mines. Je me suis déjà fait arnaquer en me faisant refiler des fausses pierres. Cela fait partie de l’apprentissage… Tout change selon les pays. La façon de tenir les pierres peut permettre de gagner la confiance, les coutumes, la façon de se comporter. Dans tous les cas, il faut observer, écouter et ne pas se comporter en donneur de leçons. L’achat d’une pierre est un jeu entre l’acheteur et le vendeur.

Même quand vous ne parlez pas la langue, comme en Colombie ? Oui. On se débrouille avec des gestes, quelques mots, le regard parfois. La communication peut-être muette. Et vous ne travaillez avec aucun intermédiaire… (Catégorique). Non. J’achète pierre par pierre. Je maîtrise mieux les choses en travaillant seul. En sachant qu’il n’existe pas de cours officiel de la pierre précieuse, mais seulement un cours virtuel entre marchands, dont les variations dépendant de la personne que l’on a en face de soit, du pays où l’on se trouve. Et comme je ne recherche que des pierres d’exception, je suis forcément très attentif lors des négociations. Car tout ce que j’achète est destiné aux particuliers, auxquels j’explique la provenance, la qualité, le prix…

N’avez-vous pas l’impression de prendre parfois des risques vraiment insensés ? Je passe peut-être pour un aventurier aux yeux de certains. Mais je ne fais que vivre ma passion, qui me permet aussi d’approcher différentes cultures. Je ne suis pas inconscient. Et ce n’est pas de ma faute si les plus belles pierres se trouvent au fond des mines de pays comme la Colombie pour les émeraudes, la Birmanie pour les rubis ou le Sri Lanka pour les saphirs. Alors oui, il m’arrive d’avoir peur, d’être envahi par le stress dans certaines situations. Le risque existe, et je ne le banalise pas. De la à dire que c’est une profession dangereuse… Il faut simplement respecter les règles. Lors d’une transaction, je ne montre jamais mes sentiments. L’effet miroir compte beaucoup.

Comment votre attitude disons « ouverte » est-elle perçue dans votre profession ? C’est un milieu individualiste, et les réactions sont variées. Mais je n’y attache pas plus d’importance que cela. Chacun agit comme il veut. J’ai simplement envie de parler de ce que je fais et de l’expliquer aux consommateurs qui viennent acheter chez moi, dans ma boutique. J’ai développé un concept de vente qui permettra au client de trouver la pierre qu’il souhaite, et je vais ouvrir prochainement un magasin à Dijon et un autre à Florence, en Italie. Je privilégie simplement le rapport entre l’acheteur que je suis et le consommateur. Et sans intermédiaires…

DOLE MARC DIJON Statuts

DOLE MARC DIJON ARTICLE 1 – CONSTITUTION – DENOMINATION L'association dite FEDERATION BATISSEURS D'ESPOIR France (FBEF) est régie par la loi du 1er juillet 1901. ARTICLE 2 – OBJET L'association doit permettre des opérations humanitaires en Asie et en Amérique du Sud. L’association a pour but la création de centres d’apprentissage de gemmologie et de taille de pierres précieuses, et d’enseignement du tourisme de l’artisanat et du commerce équitable et durable. ARTICLE 3 – DUREE La durée de l'association est illimitée. ARTICLE 4 – SIEGE Le siège social est fixé à DIJON, 11 Rue du Temple. Il peut être transféré en France par simple décision du Conseil d'Administration. ARTICLE 5 – MEMBRES 5.1 L'association se compose de membre qui peuvent être des personne physiques et morales qui ont été agrées par le conseil d'administration. Sont qualifiés de membres actifs ceux d'entre eux qui ont acquitté la cotisation annuelle à l'association ouvrant droit de vote aux assemblées générales. 5.2 Toutes les associations portant la dénomination Bâtisseurs d’espoir doivent être membres de la fédération . 5.3 Sont appelés donateurs les personnes qui ont fait, dans l'année écoulée, un don ponctuel ou des dons périodiques dont le montant minimum est fixé par le conseil d'administration. ARTICLE 6 – PERTE DE LA QUALITE DE MEMBRES La qualité de membre se perd : ➢ par démission, ➢ pour une personne physique par le décès ou la déchéance de ses droits civiques, ➢ pour une personne morale par la mise en redressement ou liquidation judiciaire ou dissolution pour quelque cause que ce soit, ➢ par décision du conseil d'administration pour tout autre motif grave notamment la non observation des statuts. Toute association Bâtisseurs d’Espoir membre de la fédération et qui perd la qualité de membre s’engage à modifier sa dénomination et s’interdit de faire de quelque manière que ce soit référence au concept Bâtisseur d’Espoir. ARTICLE 7 – RESSOURCES – FONDS DE RESERVES 7.1 Les ressources de l'association comprennent : ➢ les cotisations annuelles, ➢ les dons, ➢ les legs, ➢ les subventions, ➢ les revenus de ses biens. et toutes les ressources non interdites par la loi. 7.2 Les fonds de réserve se composent : ➢ des immeubles nécessaires au but recherché par l'association, ➢ des capitaux provenant des excédents dégagés sur le budget annuel et employés selon décision du conseil d'administration à la réalisation des buts de l'association. ARTICLE 8 – CONSEIL D'ADMINISTRATION 8.1 L'association est dirigée par un conseil d'administration composé de quatre membres actifs au moins et de vingt membres actifs au plus. 8.2 Seules les personnes physiques, majeures et non privées de leurs droits civiques, non placées sous sauvegarde de justice ou mises en tutelle ou en curatelle ainsi que les personnes morales régulièrement déclarées peuvent être membres du conseil d'administration. 8.3 Les administrateurs, qui exercent tous leurs fonctions à titre bénévole, sont élus par l'assemblée générale ordinaire parmi les membres actifs pour une durée de quatre ans. 8.4 Tout membre du conseil ne remplissant plus l'une des conditions prévues au présent article est radié d'office par le président. ARTICLE 9 – RENOUVELLEMENT DES MANDATS DU CONSEIL 9.1 Le mandat de membre conseil est de quatre exercices c'est-à-dire normalement quatre ans. 9.2 Chaque année l'assemblée générale des membres actifs de l'association procède au renouvellement du quart des postes du conseil (ou le quart arrondi au nombre entier inférieur si le nombre de postes occupés n'est par divisible par quatre). Sont réputés sortant dans cette limite, les titulaires en poste depuis quatre ans, puis ceux en poste depuis trois ans et si le quart n'est toujours pas atteint ceux en poste depuis deux ans voire enfin un an seulement. En cas de besoin, un tirage au sort intervient pour déterminer ceux qui sont désignés comme sortants pour la classe concernée. 9.3 Dans le cas où l'afflux d'administrateurs élus lors d'une assemblée dépasserait le quart des postes occupés au sein du conseil, un tirage au sort serait effectué entre ces nouveaux administrateurs dès leur entrée en fonction pour déterminer l'ordre de leur fin de mandat au cours des quatre années suivantes pour respecter le renouvellement annuel par quart. Les membres sortants sont rééligibles. 9.4 En cas de vacance d'un ou de plusieurs postes, le conseil peut prévoir provisoirement au remplacement de ses membres. Cette cooptation doit être confirmée par la plus prochaine assemblée générale qui procède au remplacement définitif. Le mandat des membres ainsi élus prend fin à l'époque où devait normalement expirer le mandat des membres remplacés. 9.5 En cas de vacance, de la totalité des postes du conseil, une assemblée générale est convoquée par un membre de l'association avec pour seul ordre du jour, soit l'élection de nouveaux membres du conseil, soit la dissolution de l'association. ARTICLE 10- POUVOIRS DU CONSEIL 10.1 Le conseil est investi des pouvoirs les plus étendus pour prendre toutes les décisions qui ne sont pas réservées aux assemblées générales des membres et d'une façon générale, il assure le bon fonctionnement de l'association en ce qui concerne sa gestion et la poursuite de son activité. 10.2 Il élit en son sein les membres du bureau et s'assure de la bonne exécution des décisions par les assemblées générales. 10.3 Il arrête les comptes annuels de l'exercice clos, le projet de budget et rend compte de sa gestion à l'assemblée générale. 10.4 En cas ce carence du président, ou en l'absence d'un président, il convoque les assemblées et arrête leur ordre du jour. 10.5 Il peut déléguer telle ou telle de ses attributions à l'un de ses membres. 10.6 Il se prononce sur les admissions et exclusions de membres. 10.7 Il fixe le montant du parrainage et celui de la cotisation annuelle. ARTICLE 11 – FONCTIONNEMENT DU CONSEIL 11.1 Le conseil d'administration se réunit au moins deux fois par an et chaque fois qu'il est convoqué par son président ou à la demande du quart de ses membres. 11.2 La validité des décisions du conseil d'administration suppose la présence du tiers de ses membres au moins. 11.3 Les décisions sont prises à la majorité simple des membres présents. En cas de partage des voix, celle du président est prépondérante. 11.4 Un procès verbal des séances du conseil est établi sur un registre spécial des délibérations et signé par le président et le secrétaire général. 11.5 Les membres du conseil ne peuvent recevoir aucune rétribution à raison de leur fonction. Ils peuvent être défrayés de leurs frais sur décision expresse du conseil. ARTICLE 12 – BUREAU DE L'ASSOCIATION 12.1 Le conseil élit en son sein, pour un an, un bureau composé d'au moins, un président, d'un secrétaire général et d'un trésorier, éventuellement un ou plusieurs vice-présidents et des adjoints si nécessaire. 12.2 Le Président. Le président est élu pour un an renouvelable. Il est doté d'un pouvoir de représentation de l'association dans tous les actes de la vie civile. Il a notamment qualité pour ester en justice au nom de l'association. Il prend toutes décisions de gestion courante de l'association. Il lui appartient notamment de convoquer les assemblées et d'en fixer l'ordre du jour. Il peut déléguer certaines de ses attributions ou des missions spécifiques à tout membre du conseil d'administration. En cas d'empêchement momentané le président peut être remplacé par tout autre administrateur spécialement délégué par le conseil. 12.3 Le secrétaire général Le secrétaire général veille à la bonne réalisation de toutes les activités du secrétariat de l'association et notamment à la rédaction des convocations, des procès verbaux des réunions du conseil et des assemblées générales et à la tenue des registres légaux. Il assure ou contrôle l'exécution des taches administratives. 12.4 Le trésorier. Le trésorier est responsable de la gestion du patrimoine de l'association sous le contrôle du président. Il procède à la perception de toutes les recettes et au paiement des dépenses régulièrement autorisées et ordonnancées par le président. Il est responsable de la bonne tenue des comptes de l'association et de l'établissement des comptes annuels. Il soumet ces comptes annuels au conseil d'administration. L'exercice social commence le 1er janvier et se termine le 31 décembre de chaque année. ARTICLE 13 – CONTROLE 13.1 L'assemblée peut approuver, sur proposition du conseil d'administration, la désignation d'un contrôleur des comptes. Le contrôleur établit un rapport présentant son opinion sur les comptes soumis à l'approbation de l'assemblée générale. 13.2 L'assemblée générale peut être conduite, notamment si l'association vient à atteindre les seuils légalement prévus, à désigner un commissaire aux comptes dont la mission légale englobe dès lors celle précédemment assurée par le contrôleur des comptes. Le commissaire aux comptes désigné peut avoir exercé préalablement les fonctions de contrôleur des comptes. ARTICLE 14 – ASSEMBLEES GENERALES 14.1 Tous les membres de l'association sont conviés aux assemblées générales. 14.2 Seuls ont droit de vote les membres actifs, à jour de leur cotisation annuelle dans un délai avant l'assemblée fixé par le conseil d'administration. Ce délai est celui que le conseil estime nécessaire à la bonne organisation de l'assemblée. 14.3 Les assemblées ne peuvent délibérer que sur les questions mises à l'ordre du jour et précisées dans la convocation. 14.4 Toute question écrite, signée de cinquante membres au moins et déposée au secrétariat un mois avant la date de l'assemblée générale, est portée à l'ordre du jour. ARTICLE 15 – ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE 15.1 L'assemblée générale ordinaire est seule compétente pour : ➢ nommer ou révoquer les membres du conseil d'administration, ➢ contrôler la gestion du conseil d'administration, ➢ entendre les rapports sur la situation morale et financière, ➢ approuver les comptes de l'exercice écoulé, ➢ examiner le budget de l'exercice suivant, ➢ et plus généralement, traiter toute question touchant au fonctionnement de l'association n'emportant pas de modification statutaire. 15.2 L'assemblée générale ordinaire se réunit au moins une fois par an et chaque fois qu'il en est besoin, sur convocation du président ou, à défaut de président, sur convocation du conseil d'administration. Une demande de convocation émanant du quart au moins des membres actifs de l'association doit être satisfaite par le conseil d'administration 15.3 Aucun quorum n'est nécessaire pour valider les décisions de l'assemblée générale ordinaire. 15.4 Le bureau de l'assemblée est celui du conseil d'administration. 15.5 Les résolutions sont prises à la majorité simple des membres actifs présents. 15.6 Chaque membre actif possède une voix et une seule. 15.7 Le vote s'exprime : ➢ par la présence physique à l'assemblée, ➢ par correspondance. 15.8 L'ordre du jour figure sur les convocations qui sont envoyées quinze jours avant l'assemblée. 15.9 Les décisions de l'assemblée générale annuelle sont prises à la majorité des votes exprimés. Seules les résolutions concernant l'élection des membres du conseil sont obligatoirement votées à bulletin secret. ARTICLE 16 – ASSEMBLEE GENERALE EXTRAORDINAIRE 16.1 L'assemblée générale extraordinaire de l'association est seule compétente pour : ➢ modifier les statuts, ➢ transférer le siège hors de France, ➢ décider de la dissolution. 16.2 L'assemblée générale extraordinaire se réunit chaque fois qu'il en est besoin, sur convocation du président ou, à défaut de président, sur convocation du conseil d'administration. Une demande de convocation émanant du quart au moins des membres actifs de l'association doit être satisfaite par le conseil d'administration. 16.3 Le quorum requis pour les assemblées extraordinaires est fixé au quart des membres actifs sur première convocation. Aucun quorum n'est requis sur seconde convocation. La date prévue pour l'assemblée sur seconde convocation peut avoir été précisée sur la première convocation dispensant ainsi de renouveler la formalité. 16.4 Le bureau de l'assemblée est celui du conseil d'administration. 16.5 Les décisions sont prises à la majorité des deux tiers des votes exprimés. 16.6 Chaque membre actif possède une voix et une seule. 16.7 Le vote s'exprime : ➢ par la présence physique à l'assemblée, ➢ par correspondance. ARTICLE 17 – REGLEMENT INTERIEUR Le conseil d'administration peut, s'il le juge nécessaire, arrêter le texte d'un règlement intérieur qui déterminera les modalités d'exécution des présents statuts.



ARTICLE 18 – DISSOLUTION 18.1 La dissolution de l'association ne peut être prononcée que par l'assemblée générale extraordinaire convoquée spécialement à cet effet. 18.2 L'assemblée générale désigne alors un ou plusieurs liquidateurs chargés de la liquidation des biens de l'association dont elle déterminera les pouvoirs. 18.3 Elle attribue l'actif net restant, s'il en existe un, à la Fondation de France. ARTICLE 19 – FORMALITES Tous pouvoirs sont donnés au porteur des présentes à l'effet d'effectuer les formalités de déclarations et de publications prescrits par la législation en vigueur. Fait en cinq originaux, outre un exemplaire pour le journal de l'association et deux destinés au dépôt légal. Fait à Dijon, Le

dole marc dijon presse file FAIRGEMSPROCESS

PRESS FILE FAIRGEMS PROCESS  Summary I- Introduction.............................................................................................................................................. II- Fairgems Process – Genesis and Actuality...................................................................................... III- Origins....................................................................................................................................................... IV- Principles.................................................................................................................................................. V- Procedure : the supply chain............................................................................................................... VI- Choice of the location............................................................................................................................ VII- Future / Agenda....................................................................................................................................... VIII- The team ................................................................................................................................................... IX- Contacts.................................................................................................................................................... I- Introduction The supply chain for coloured gemstones has been strongly buffeted recently by a number of events. The scandal surrounding blood diamonds, a new awareness of the poor working conditions in the mining sector and the increasing effect of the imperatives imposed by sustainable development are all factors that have engendered a number of initiatives to promote better practices. Major initiatives have emerged in the industry with recently the certification of one gold mine in Bolivia and the launching of Fair trade gold in UK and Canada. In the coloured gemstones market and through FairGems Process, we hope that, bit-by-bit, we can encourage this industry to adopt a more ethical way of doing business. Our goal is to provide a guarantee for stones that are totally clean, both for those who participate in the supply chain and for consumers. We aim to give the standard jewellery and fine jewellery trades the means to reconcile high- quality products with environmental protection and social justice for local communities. To this end, FairGems Process is taking action especially in 3 fields of sustainable development. Environment The use of mining techniques that do not pollute and that preserve the environment Social welfare Employer-employee relationships that follow all ILO (International Labour Organization) rules, and additional social welfare actions (giving access to further education in the gemstone industry, helping miners build their homes etc.) Financial Welfare Higher quality commercial relationships that are more secure and reliable between those financially involved (distributors, jewel craftsmen, jewellers, etc.) and their customers.  II- FairGems Process – Genesis and Actuality FairGems Process is a process to guarantee the traceability of gemstones and the respect of environment as well as social welfare. Marc Dole, gem dealer for more than 25 years, has launched the project in 2005 in reaction to unfair practices in the industry. FairGems Process is a non-profit organisation. It is being developed in Sri Lanka – first pilot country - and can be duplicated all over the world. FairGems Process represents six years of work so far with an investment of 1.2 million dollars, which includes a high-level analysis laboratory (due to open in June 2011), a free educational centre withteaching such asgemmology and gemstone cutting (for teenagers of an extremely poor background) and a representative office on the mines sites. It has been sponsored by luxury brands (leather goods, watch industry, etc.) FairGems Process is governed by a charter, signed by 168 extractors, which represents 2,200 miners. III- Origins Marc Dole developed FairGems Process to counteract the unfair practices in the jewellery industry, which has been tarnished by numerous scandals over the last 25 years. For instance, the word "diamond" is still associated with "blood", despite the implementation of the Kimberley Process, which has become very controversial. Generally, gemstones are seen as "dirty” and have lost their true values. Due to an insufficient production, gemstones such as composite rubies, beryllium sapphires etc. have been put into the market to meet the growing demand. These practices resulted in the loss of consumer confidence and reduced consumption. It is important to note that those practices are not prohibited; however it is compulsory to inform the consumer. Therefore, when a stone is treated, it has to be clearly reported (CIBJO Standard). Unfortunately, this is rarely the case. Treated stone is one issue, the origin is another one. Many gemstones are sold today as Sri Lankan or Burmese implying higher prices while they are actually from Madagascar. Whether to indicate the origin of the stone or specify its possible treatment, transparency is required. Adding to this concern, still today, miners do not benefit from their hard work and struggle to live decently while the gemstones they are extracting commend expensive prices in high-end jewellery. The idea of fair practices was seen as a must; FairGems Process has been set up following two main principles: - Traceability of the stone (origin, treatments): Traceability is a fundamental element in the life cycle of a stone. Its origins must be clearly identified and the possible treatments that have been made need to be clearly disclosed. As a result, transparency to enable fair practices was seen as a priority. - Improving the living conditions of miners by improving the living conditions of the local communities they belong to (i.e building housing, creating training centres, etc.) The extraction and gems trade can be transformative if developed in a manner that will maximise the benefits to miners, local communities and to the country. With FairGems Process, we are convinced that it creates the opportunity to make a real and lasting contribution to Sri Lanka and its people through the implementation of communities programs and actions especially around the extraction area.  IV- Principles a) b) c) Origin of the stone: As we can guarantee the provenance of clothes or food, so FairGems Process guarantees to the final consumer the place and condition of extraction as well as the quality of coloured gemstones. Environment FairGems Process ensures that the production follows the principle of sustainable development such as preserving water resources, protecting local flora and fauna etc. Ethics and Social Business FairGems Process ensures to the final customer that money from gemstones extraction is not the result of child labour, abuses, whitewashing or funds any kind of terrorism or wars. 3% will be raised from each part of the supply chain (cf. below) and aims on the improvement of miners’ life as well as their family. Money gained from FairGems Process will directly be redistributed to the miners themselves by building training centres, houses, etc. As an example, FairGems Training Centre is one of the links of the chain. FairGems Training Centre offers to the most disadvantaged young generation a free education in the gemstone industry. Thanks to this training, they can benefit, through work, from their country’s natural resources. FairGems Training Centre has been built up through a French NGO “Bâtisseurs d’espoir”. This NGO is part of the FairGems Process.  V- Procedure: the supply chain To get gemstones traceability, FairGems Process federates every part of the supply chain around the process: 1- Producers (extractors) 2- Gem cutters 3- Laboratories 4- Gem Dealers 5- Jewellers 6- Consumers To be part of the process, the different stakeholders sign a charter in which they commit towards environmental issues as well as miners working conditions. By doing this, their business becomes part of the FairGems Process. A certificate proving its origin will accompany the stone. Certificate The certificate includes: - A picture of the rough gem - A picture of one inclusion of the stone in 3D, proving its unique identity - Two pictures of the polished stone - The extraction address - The gem cutter’s address - The name of the exporting company on the barcode - A page for the jeweller’s name - A page for the final consumer’s name - And of course, the traditional polished stone grading Furthermore, by being part of the process, each stakeholder of the supply chain will give a 3% back to the Professional Association composed of extractors, miners, gem dealers, and FairGems representatives in Sri Lanka.  The Supply chain Professional Association in Sri Lanka 3% FairGems Extractors Miners FairGems Office Picture of the rough 3% 3% 3% FairGems – GemCutter Bar Code – sealed FairGems Laboratory Certificate Bar Code – sealed FairGems - Gem Dealer Exporter Bar Code – sealed FairGems - Gem Dealer Importer Construction of a Training Centre, Miners’ houses FairGems - Jewellers FairGems - Final Consumer VI- Choice of the location As a first step, FairGems Process has been settled down in Sri Lanka, the first country test for the process. The country was chosen according to its level of acceptance. Sri Lanka, through its very strict regulation, has already implemented various programs to protect the environment and biodiversity. In order to extract gemstones, the Island uses the same methodology as its ancestors 2000 years ago. Wood, fern and natural products are used to construct the mines. Women and children are not allowed to work in the mines. Traceability protects the word « Ceylon » when used for gemstones and assures consumers on what they are exactly buying. With FairGems Process, they will buy the stone they thought they were buying (and get the certificate with it) – not a stone which has been undisclosed as for treatments or that is from another country. VII- Future / Agenda June 2011: - Opening of the Laboratory - Creation of the Professional Association composed of producers, miners, gem dealers, and members of the FairGems Process.  VIII- The Team Directors: - Marc Dole: Funder and Chairman Marc worked first as a sociologist for fourteen years and especially in private coaching on personal behaviour in public and social life for personalities. For personal and philosophical reasons, he moved into the Jewellery Industry in 1986 and funded the precious metal and gemstones bank with a 20 million Euros turn over. As mentioned above, he has launched FairGems Process project in reaction to unfair practices in the industry and used the media (paper and TV) to denounce those practices (2000, Capital – M6; 2008, Enquêtes Exclusives – M6; etc). - Aurélie Rumas Aurélie is the Director of the FairGems Training Centre (Bâtisseurs d’espoir) since the opening in 2007. IX- Contacts Marc Dole marc.dole@fairgemsprocess.com + +94 774069506

mercredi, avril 18 2012

Dole Marc Sri Lanka

Marc Dole et l'atelier de l'école

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Dole Marc Batisseurs d'espoir

bâtisseurs d'espoir

1/Des adolescentes de milieu défavorisé, ou traumatisées entre 17 et 22 ans. Triplement stigmatisées, par leur sexe, leur âge et leur condition sociale, elles sont des victimes prédestinées Si aucune action n’est menée pour leur donner les moyens de devenir des actrices émancipées de leur existence .

En France

2/ Offrir à de jeunes Française expatriées et volontaires 22/28 ans de pouvoir aider enseignement, gestion, communication, tout en ce reconstruisant elle même.

 Elles sont indirectement liées aux élèves à la perception qu’elles ont de leurs propres corps, de l’estime de soi, la façon dont on les juge.
L’estime de soi dépend du degré de cohésion entre les aspirations et les succès

Marc Dole Dijon

Qui est Marc Dole ?

Lapidaire-gemmologue, Marc Dole a été amené depuis longtemps à rencontrer la pauvreté et les lois de la jungle dans les pays où il achète les pierres précieuses dont il est l’un des grands spécialistes européens (émissions Capital sur M6, Planète, TV5, Voyages). Que ce soit en Colombie dans les mines du territoire de la Boyaka, ou au Sri-Lanka, ou en Birmanie, il n’a pu rester insensible au sort des plus délaissés : les adolescents, qui ont passé l’âge des trafics de l’adoption, et dont personne ne s’occupe plus. Ils sont à la rue, la plupart sont shootés à la colle dès l’âge de quatre ans, ils n’ont pour horizon que la criminalité, le trafic de drogue, et souvent la mort violente qui y est associée.

marc dole rotary

mardi, avril 17 2012

001 Marc Dole Dijon

Le Rotary Club Dijon Toison d’Or soutient l’action de Marc Dole et de l’association

« BATISSEURS D’ESPOIR » pour donner un métier
à des jeunes adolescents du Sri Lanka.

sport.JPG

Cette action originale part du constat fait par Marc Dole que ces jeunes adolescents sont à l’écart des aides multiples arrivées au Sri Lanka, après le passage du Tsunami. Il est possible de sortir ces jeunes adolescents de la misère et de la rue en leur donnant accès à un métier. Mené en profondeur, soigneusement dirigé et contrôlé, le programme sera étendu au fur et à mesure des réalisations.

lundi, avril 16 2012

01 marc dole dijon

Voici encore quelques illustrations

La rentrée 2008

Marc dole et la rentrée 2008

Les familles

Marc Dole photo des familles

dimanche, avril 15 2012

Marc Dole Dijon

voici quelques photos de notre Association

L'atelier atelier.JPG

Chambre du pensionnat

Chambre du pensionnat

Marc Dole Dijon

BATISSEURS D’ESPOIR




                                Association loi 1901
                                      Préfecture de Cote d’ Or n° 20 050 012/01/01.05



   «  Plutôt que de leur donner des poissons, il vaut
       mieux leur apprendre à pêcher »

Marc Dole Dijon

Ce projet est parti d’un constat direct de Marc Dole et son équipe : après le tsunami, 1900 enfants et adolescents se sont retrouvés orphelins de père, de mère ou de leurs deux parents. Or ces adolescents sont malheureusement restés à l’ écart des aides locales et internationales.

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